Et voici.
Après une journée passée à Phnom Penh dans une chaleur étouffante
avec Dy que j’ai retrouvé pour quelques heures, le voyage pour arriver à Kampot
fut l’occasion de retrouver un trafic épouvantable à la sortie de la ville.
Madame Hidalgo n’a pas à passer par là pour créer la congestion des routes ni créer
des pistes pour les vélos : elles existent déjà sur les trottoirs où circulent
vélos et motos pour contourner les voitures.
Bref, 3 h 30 plus tard les 170 kms sont parcourus et 3 minutes de tuk après, par la nouvelle route
qui remplace la piste, arrivée aux Manguiers .
Accueil toujours aussi chaleureux par l’équipe du soir,
dîner rapide et au lit de bonne heure pour récupérer d’une journée bien fatigante
d’autant plus que j’avais passé la nuit précédente dans l’aéroport de
Singapour.
5h 30 ce matin, un bruit familier me réveille, les bateaux
remontent la rivière avec leur bruit de moteur caractéristique. Direction la
cuisine, la cafetière est toujours à la même place, et premier café sur le
ponton.
On devrait aller voir le lycée pour préparer l’installation
de la nouvelle salle informatique, projet prioritaire pour cette année.
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