mercredi 27 février 2019

Il fallait bien que ça arrive

En piste ce matin pour BP, avec arrêt au café. Il me faut 5 bonnes minutes  pour reprendre une allure présentable avant d'entrer dans la salle des profs. La sueur et l'anti-soleil permettent à la poussière rouge de bien coller. Toujours un petit chiffon sous la main pour essayer de me rendre présentable.

9 portables m'attendent. Sur 5 les vieux mac, seul un ne démarre pas. Compte tenu de son âge, direction le rebut, plus de pièces de rechange. Pour les 4 autres, le plus dur est de retrouver les bons chargeurs. 2 sont hors d'usage, clavier cassé, écran mort, et 2 autres fonctionnent sans problème.
Bilan final 6 portable disponibles, un va être utilisé avec le vidéo-projecteur et pour les autres, on verra jeudi avec Jean-Yves et le directeur comment on ré-alloue tout le matériel disponible.

Après le petit tour traditionnel à la pagode pendant l'heure du déjeuner, 2 heures de cours de français avec les plus jeunes. On reprend les prononciations, ce qui n'est pas facile pour certains qui ne connaissent pas l'alphabet latin.

C'est au moment du départ que le problème survient, pneu à plat sur mon vélo. J'avais bien trouvé qu'il avait une petite forme au départ, mais avec quelques coups de pompe je n'avais pas constaté de faiblesse le matin. J'étais même arrivé à bon port. 800 mètres à pied pour rejoindre le "garage", 10 minutes à attendre le patron qui était parti au café du coin  et en 5 minutes la rustine est posée. Coût  25 centimes, je vais proposer à Toyota  le même tarif horaire !







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